-
Rhapsodie des oubliés
- Suivi d'un entretien avec l'auteur
- Narrado por: Ariane Ascaride
- Duração: 4 horas e 42 minutos
Falha ao colocar no Carrinho.
Falha ao adicionar à Lista de Desejos.
Falha ao remover da Lista de Desejos
Falha ao adicionar à Biblioteca
Falha ao seguir podcast
Falha ao parar de seguir podcast
Assine e ganhe 30% de desconto neste título
R$ 19,90 /mês
Rhapsodie des oubliés
Compre agora por R$ 95,99
Nenhum método de pagamento padrão foi selecionado.
Pedimos desculpas. Não podemos vender este produto com o método de pagamento selecionado
Sinopse
Avec la participation de l'auteur.
"Ma rue raconte l'histoire du monde avec une odeur de poubelles. Elle s'appelle rue Léon, un nom de bon Français avec que des métèques et des visages bruns dedans."
Abad, treize ans, vit dans le quartier de Barbès, la Goutte d'Or, Paris XVIIIe. C'est l'âge des possibles : la sève coule, le coeur est plein de ronces, l'amour et le sexe torturent la tête. Pour arracher ses désirs au destin, Abad devra briser les règles. À la manière d'un Antoine Doinel, qui veut réaliser ses 400 coups à lui.
Rhapsodie des oubliés raconte sans concession le quotidien d'un quartier et l'odyssée de ses habitants. Derrière les clichés, le crack, les putes, la violence, le désir de vie, l'amour et l'enfance ne sont jamais loin.
Dans une langue explosive, influencée par le roman noir, la littérature naturaliste, le hip-hop et la soul music, Sofia Aouine nous livre un premier roman éblouissant.
Il fallait le talent d'Ariane Ascaride pour incarner avec autant de justesse cette écriture qui allie humour et drame, et ces "oubliés" que sa lecture nous rend inoubliables.
Resumo da Crítica
La presse en parle :
"Ce que j'ai lu de plus magnifique sur l'adolescence."
François Busnel, La Grande Librairie
"Avec sa Rhapsodie des oubliés, drôle et moderne, Sofia Aouine réussit le pari d'une arrivée audacieuse sur la scène littéraire."
Flavie Philipon, ELLE
"Abad peut s'inscrire au club des rejetons rebelles à côté de Holden Caulfield de L'Attrape-coeurs."
Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine